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Diocèse de Paris

Interview de Mgr Michel Aupetit à propos de sa lettre pastorale “La fraternité au service de la mission”

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Interview de Mgr Michel Aupetit à propos de sa lettre pastorale “La fraternité au service de la mission” – Diocèse de Paris (catholique.fr)

Lettre pastorale de Mgr Michel Aupetit “La fraternité au service de la mission”

3 septembre 2021

Chers frères et sœurs, chers amis,

Depuis trois ans et demi que le Saint-Père m’a appelé à recevoir la charge du diocèse de Paris, bien des événements inattendus et désarmants se sont produits. En premier lieu, l’incendie de Notre-Dame. L’émotion considérable qu’il a suscitée en France et dans le monde a certes mis en lumière un fort attachement au patrimoine culturel et religieux mais plus profondément l’immense attente de nos contemporains relativement à l’Église du Christ. Si chaque détail lié à la reconstruction de l’édifice semble faire débat et suscite les passions, c’est que notre cathédrale représente bien autre chose. Elle est la mémoire religieuse de notre pays mais elle est, peut-être plus encore, le signe de l’avenir missionnaire de notre Église dont nous avons pu découvrir les intenses blessures. Mais n’est-ce pas du côté transpercé du Christ que jaillissent le sang et l’eau ? L’année suivante, la pandémie mondiale de la Covid-19 nous a révélé la fragilité de notre société et les limites de la condition humaine. Elle a frappé une civilisation, sûre d’elle-même, de la fulgurance des progrès techniques et de sa domination de la nature et des éléments qui la composent. L’individualisme exacerbé mis en place par cette illusoire autonomie nous avait fait oublier que la Terre est notre maison commune. Les gestes barrières et la distanciation nécessaire pour endiguer la propagation du virus, nous ont fait ressentir à quel point nous étions interdépendants et fondamentalement des êtres de relation. Tout ceci nous oblige à repenser notre relation au monde, à notre place dans la société et à l’immense trésor qui nous a été confié par le Christ, célébré dans les sacrements, et dont nous sommes appelés à être témoins. L’amour inconditionnel de Dieu pour chaque personne doit être connu de tous les hommes pour pouvoir construire cette civilisation de l’amour, chère au pape saint Jean-Paul II.

Face à ces défis et enjeux de société, nous avons, depuis presque un an, engagé une réflexion sur la mission propre du diocèse de Paris. En effet, nous avons la chance d’avoir un diocèse dynamique en raison du nombre de prêtres et de diacres encore important, de religieux et de consacrés qui œuvrent dans tous les domaines pastoraux de l’enseignement et de la charité, ainsi que de nombreux laïcs engagés et motivés. Je rends grâce pour l’investissement de chacun. J’ai eu l’occasion de percevoir les ressources considérables dont dispose notre diocèse : la vitalité de nos paroisses, les mouvements et communautés avec leurs charismes propres, les ressources de la formation des séminaristes et des prêtres mais aussi de l’ensemble du peuple de Dieu, les nombreuses initiatives au service de la solidarité et les œuvres de charité qui ne cessent d’interpeller nos contemporains. Les richesses humaines et religieuses invitent à reconnaître comment la recherche de vérité, de bonté et, aujourd’hui plus particulièrement la recherche de « beauté » inscrite dans la nature et dans toutes les formes d’expressions artistiques, est une médiation fondamentale pour contempler le Dieu fait homme. Comme l’affirmait déjà saint Paul VI lors de la clôture du Concile Vatican II : « Ce monde dans lequel nous vivons a besoin de beauté pour ne pas sombrer dans le désespoir. La beauté, comme la vérité, est ce qui apporte la joie au cœur des hommes, elle est ce fruit précieux qui résiste à l’usure du temps, qui unit les générations et les fait communiquer dans l’admiration. »

En raison de son histoire et de sa place singulière dans notre pays, Paris est regardé de manière particulière, non seulement par les chrétiens fervents mais aussi par de nombreuses personnes dans le monde, encore marquées par le foisonnement artistique, intellectuel et culturel de cette capitale. Nous avons, là aussi, à travailler pour que notre diocèse soit un lieu d’innovation dans ces domaines si importants pour l’évolution d’une civilisation. Le Collège des Bernardins, voulu par le cardinal Jean-Marie Lustiger, en est l’expression. Fondé sur la parole de Dieu comme source lumineuse de l’intelligence et de la créativité, il apparaît important qu’il soit le prototype d’une action pastorale renouvelée et audacieuse suivant les paroles du pape François dans son encyclique Fratelli tutti : « Un esprit de vrai dialogue se nourrit de la capacité de comprendre le sens de ce que l’autre dit et fait, bien qu’on ne puisse pas l’assumer comme sa propre conviction. Il devient ainsi possible d’être sincère, de ne pas dissimuler ce que nous croyons, sans cesser de dialoguer, de chercher des points de contact, et surtout de travailler et de lutter ensemble » (§ 203). Il s’agit bien de « dia-loguer », de découvrir par le logos qui habite le cœur de l’homme le chemin de vérité et de vie. Dans son discours adressé aux Bernardins, le pape Benoît XVI restituait la mission du Collège à la lumière de son histoire : « Au milieu de la confusion de ces temps où rien ne semblait résister, les moines désiraient la chose la plus importante : s’appliquer à trouver ce qui a de la valeur et demeure toujours, trouver la Vie elle-même. Des choses secondaires, ils voulaient passer aux réalités essentielles, à ce qui est vraiment important et sûr. » C’est la parole de Dieu qui les a conduits à travers cette recherche du Seigneur au cœur du monde. Le cardinal Jean-Marie Lustiger nous a, en ce sens, laissé un magnifique héritage de formation. Puisse la parole de Dieu continuer à nous guider toujours davantage vers les extrémités de la Terre ou, selon les mots du pape François, vers de nouvelles périphéries.

Tout ce potentiel doit donc nous pousser à rechercher la volonté du Seigneur pour notre temps. Comme le rappelle Benoît XVI, cette recherche se vit dans la communion. À quoi sommes-nous appelés ? Comment pouvons-nous faire cela dans la confiance, la paix et l’unité ? Le travail engagé selon un processus synodal doit permettre à chacun de participer concrètement à l’élaboration de la vision pastorale pour les années à venir. Il s’agit, selon le titre de cette démarche « Mieux servir ensemble », de permettre à chacun d’y contribuer et de se l’approprier en répondant à l’appel du pape François sur la synodalité. Celle-ci n’est pas une action particulière pour un temps donné mais un état d’esprit à mettre en œuvre pour que l’ensemble du peuple de Dieu puisse devenir ce qu’il est fondamentalement par le baptême : une Église de « disciples missionnaires ».

Pour cela, il nous a semblé important de repenser l’organisation et la gouvernance du diocèse. En écoutant les attentes de tous ceux qui font vivre le diocèse de Paris, il est apparu clairement qu’il nous fallait être davantage présent sur le terrain pastoral et apostolique. Aussi, depuis le 1er septembre, nous avons réorganisé le travail des vicaires généraux. Il y a désormais quatre vicaires généraux spécifiquement dédiés aux territoires pastoraux suivant un schéma nouveau qui associe pour un même vicariat des doyennés de sociologie, de moyens humains et financiers différents. Nous espérons que ceci pourra permettre une plus grande unité ainsi que des rencontres et des collaborations plus fructueuses. À partir du travail commencé autour d’un premier diagnostic élaboré par des baptisés aux différents états de vie, les visites pastorales auront pour but, outre une plus importante proximité avec les acteurs de terrain, d’accueillir les premières réactions pour travailler et réfléchir à la mise en œuvre des orientations qui ont émergé de ces prémisses sur une nouvelle impulsion pastorale.

Dans les nombreuses rencontres que j’ai pu avoir avec nos édiles ou plus simplement en rencontrant les personnes de différents milieux, il m’est apparu que la priorité était de reconstruire la fraternité. Celle-ci est, en effet, le premier lieu de l’annonce l’Évangile : « C’est à l’amour que vous aurez les uns pour les autres que l’on reconnaîtra que vous êtes mes disciples. » Il me semble important de construire une Église fraternelle, non seulement au service du peuple de Dieu, mais aussi du Salut du monde. C’est d’abord dans les paroisses que la mission s’incarne grâce aux bons soins du curé (curare) qui est le serviteur de l’action commune. Comment sommes-nous au service de la vocation de chacun ? Le maillage territorial ne rend pas raison à lui seul de la dynamique missionnaire qui se déploie dans les mouvements, associations de fidèles et initiatives nouvelles qui permettent aux charismes des fidèles de s’exprimer dans un élan évangélique des différents états de vie. Chacun exprime de manière particulière la totalité du Christ, prêtre, prophète et roi. Comment honorer davantage encore chacune de ces dimensions du baptême ? Sommes-nous assez au service de la vocation royale des fidèles ? Comment est-on un soutien pour le médecin chrétien, pour la sage-femme qui désire être fidèle à sa conscience, pour le chef d’entreprise et l’ouvrier qui veulent suivre la doctrine sociale, pour le chômeur à la recherche de travail, pour les pères et mères de famille soucieux de l’éducation de leurs enfants, pour les jeunes en quête de sens et de valeurs et pour ceux qui, comme nous le rappelait le cardinal André Vingt-Trois, ne nous demandent plus rien ? Comme intègre-t-on le charisme prophétique de la vie consacrée ?

Pour être fidèle à la demande du pape François et de l’enseignement de l’Église, il est nécessaire de mettre en place un mode de fonctionnement, respectueux de la vocation, de l’état de vie et du charisme de chacun, qui repose sur l’application chrétienne du principe de subsidiarité. Il convient de permettre à chacun de se sentir à sa place en contribuant pleinement à la mission universelle dans une démarche de synodalité où clercs, consacrés et laïcs travaillent ensemble et s’enrichissent mutuellement dans un esprit fraternel.

En contemplant notre histoire et en regardant les jaillissements spontanés que l’Esprit Saint distille aujourd’hui dans bien des endroits, il m’apparaît important de déployer des lieux de fraternité missionnaire fondés sur l’eucharistie et le partage de la parole de Dieu, où se fortifient la communion et l’unité pour nous ouvrir à l’amitié universelle. Le Seigneur Jésus nous a dit : « Je ne vous appelle plus serviteurs, je vous appelle mes amis. » Cette amitié divine qui dépasse tout ce que l’imagination humaine aurait pu espérer, nous conduit à comprendre que nous sommes d’abord une religion de l’amitié. À partir de la fraternité qui existe entre nous en raison de notre filiation divine qui nous conduit tous à avoir un même Père, nous avons à cultiver l’amitié avec chacun. Cette amitié fondée sur la gratuité du don doit permettre à celui qui n’arrive pas à franchir le seuil de nos églises, d’être accueilli gratuitement dans une profonde bienveillance. Cette fraternité au service de la mission nous entraîne à construire des lieux seuils pour que ceux qui ne nous demandent plus rien se sentent bienvenus simplement parce qu’ils sont ce qu’ils sont. Sans doute faudra-t-il repenser la manière dont nous accueillons ceux qui s’adressent encore à nous. Mais, suivant l’intuition et le désir du cardinal André Vingt-Trois, il nous faudra faire davantage en élaborant, en fonction des possibilités de chacun et par la grâce de communion toujours accessible, des lieux d’accueil gratuits où l’on peut vivre la fête, la dimension artisanale et artistique que chacun porte en soi, la recherche spirituelle ou intellectuelle qui marquent notre époque désorientée, enfin bref, des lieux où se manifeste la joie de l’Évangile.

C’est avec vous tous que je souhaite approfondir et mettre en œuvre ces deux visions pastorales – les fraternités missionnaires et l’accueil inconditionnel de tous – qui restent profondément liées. Il est nécessaire de construire, de plus en plus, des lieux de fraternité fondés sur la vie sacramentelle et le partage des Saintes Écritures qui, comme on le voit déjà dans bien des lieux, se déploient avec bonheur pour nous permettre de devenir davantage ce que nous sommes : les disciples du Christ. Il s’agit d’approfondir notre relation personnelle avec lui, de scruter ensemble la parole de Dieu en recevant des autres une lumière bienfaisante en se mettant ensemble sous la motion de l’Esprit Saint, d’édifier la communion par une liturgie joyeuse et profonde qui respecte l’acte divin. En vivant cela, nous pourrons construire une authentique fraternité qui sera le reflet de la présence du Christ au milieu de nous.

Mais une telle fraternité de disciples du Christ ne peut être que missionnaire dans le sens où elle s’ouvre à tous de manière inconditionnelle. Loin de nous enfermer dans un entre-soi mortifère, elle nous oblige à cette amitié universelle envers tous les hommes en mettant en place dans nos lieux pastoraux de nouvelles propositions qui attirent pour montrer que l’Église a été voulue par le Christ pour le bien de tous les hommes. C’est bien par attraction que se répand le message évangélique comme le rappelle le pape François dans son encyclique La joie de l’Évangile.

Nous devons pouvoir lancer des initiatives nouvelles et parfois surprenantes pour répondre à un tel défi. J’ai employé ce mot, peut-être incongru, de « start-up » du Bon Dieu pour dire combien nous avions à nous laisser guider par le Saint-Esprit dans les temps nouveaux que nous avons à vivre. C’est ainsi, qu’ayant constaté la grande détresse de beaucoup de nos contemporains, j’ai lancé ces grandes prières de guérison et de délivrance auxquelles ont répondu tant de gens d’origines diverses. Voilà pourquoi nous réfléchissons également à la manière dont nous pouvons servir nos frères humains dans les grands bouleversements de l’exercice médical, en particulier de la chirurgie ambulatoire qui va modifier complètement notre présence dans les hôpitaux et dans l’accompagnement des personnes malades à leur domicile. Chacun d’entre nous doit être attentif aux évolutions de notre société qui se transforme avec rapidité et peut déconcerter beaucoup d’entre nous. Quelle force de proposition pouvons-nous être dans la communication, dans les nouvelles formes du travail, dans le domaine de la solidarité, dans la formation des consciences et des intelligences, dans la recherche du sens de la vie ? C’est là que nous sommes attendus et que nous deviendrons missionnaires en portant un message lumineux, non seulement dans son expression écrite ou orale, mais dans la réalité de nos existences et dans la façon dont nous vivrons entre nous l’Évangile que nous avons reçu comme un trésor à partager.

Je souhaiterais que, pendant cette année, nous puissions tous nous emparer de ce sujet important afin de voir comment chacun, en fonction de ses charismes, de sa disponibilité, de ce qui est déjà heureusement construit dans ce sens, puisse déployer et innover audacieusement à partir des richesses existantes et du Don de Dieu, cette fraternité des disciples du Christ toujours à construire pour servir au nom de l’amitié divine une société qui, sans le savoir peut-être explicitement, recherche cette joie profonde d’une fraternité universelle où le « Christ sera tout en tous » comme le dit saint Paul.

Paris, le 3 septembre 2021
Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris

Cliquez ici pour télécharger la lettre pastorale de Mgr Michel Aupetit “La fraternité au service de la mission”

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2 - Infos Paroissiales

Chapelet Zoom à 18:00

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Du Lundi au vendredi à 18:00, à partir du mardi 7 septembre, les paroissiens de Notre Dame de Bonne Nouvelle et ceux qui veulent s’unir à eux prieront le chapelet sur la plateforme Zoom.

Pour y participer :

ID de Réunion : 205 033 215, mot de passe : ndbn, mot de passe numérique : 676064 pour les connexions par simple téléphone

https://us02web.zoom.us/j/205033215?pwd=Q0dINXNORjV2Zzh0b1FMS0tZNDdqdz09

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Non classé

Appel du pape François au jeûne et à la prière pour l’Afghanistan

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« Je suis la situation en Afghanistan avec une grande inquiétude, et je partage la souffrance de ceux qui pleurent les personnes qui ont perdu la vie » Lors de l’Angélus de ce dimanche 29 août 2021, le Pape François a lancé un appel à prier pour l’Afghanistan, après la prise de pouvoir des talibans, et les attentats suicide de l’aéroport de Kaboul.

« Je recommande les défunts à la miséricorde de Dieu tout-puissant, et je remercie ceux qui s’efforcent d’aider cette population durement éprouvée, en particulier les femmes et les enfants, a insisté le Pape. Je demande à tous de continuer à aider ceux qui sont dans le besoin, et de prier pour que le dialogue et la solidarité conduisent à l’instauration d’une coexistence pacifique et fraternelle, et soient porteurs d’espoir pour l’avenir du pays. »

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Eglise catholique de France

Visite d’Emmanuel Macron à Lourdes

Ce vendredi 16 juillet 2021, le chef de l’Etat, Emmanuel Macron, visitera Lourdes.
Ce sera la fête de Notre Dame du Mont Carmel, date de la dernière apparition de la Vierge à Bernadette.
À cette occasion, de nombreuses personnes en France et à l’étranger ont prévu de prier le Rosaire pendant cette journée, pour la France, pour la conversion de notre Président et pour l’ensemble des dirigeants, afin que triomphent le Cœur Sacré de Jésus et le Cœur Immaculé de Marie sur notre pays.
Proposition :
9h00 : Mystères Joyeux
12h00 : Mystères Lumineux
15h00 : Mystères Douloureux
18h00 : Mystère Glorieux
Que Sainte Bernadette, Saint Joseph, la Très Sainte Vierge Marie intercèdent pour nous.

18ème et dernière apparition : jeudi 16 juillet 1858

Bernadette ressent le mystérieux appel de la Grotte,
mais son accès est interdit et fermé par une palissade.
Elle se rend donc en face, de l’autre côté du Gave.
Elle voit le Vierge qui se présente à elle sous l’apparence de Notre Dame du Mont Carmel.
« Il me semblait que j’étais devant la grotte, à la même distance que les autres fois,
je voyais seulement la Vierge, jamais je ne l’ai vue aussi belle ! »

recits_complet_des_apparitions_de_notre_dame_de_lourdes

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1 - Liturgie Horaires

Fête Nationale – 14 juillet 2021 – l’eglise est fermée (pas de messe à 18h30)

Ce jour de Fête Nationale – 14 juillet 2021 – l’église est fermée et il n’y aura pas de messe à 18h30.

En cette fête de Saint Camille de Lellis, saint patron des infirmiers, nous prions pour tous les infirmiers et infirmières si durement sollicités pendant cette crise sanitaire, et rendons grâce à Dieu pour tous les bons soins qu’ils nous prodiguent.

 

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3 - Infos Diocésaines / Eglise Diocèse de Paris

Catherine Labouré, un cœur brulant de charité – Spectacle gratuit du 14 au 19 juillet 2021

En l’honneur du 190e anniversaire des apparitions de la Vierge Marie

A la Chapelle Notre-Dame de la Médaille miraculeuse

au 140 rue du Bac (Paris VIIe),

la Compagnie des Filles de la Charité est heureuse de vous inviter à son prochain spectacle :

Catherine Labouré, un cœur brulant de charité

Nous sommes  un 21 avril 1871, l’action est censée se dérouler dans la Chapelle de  la Maison de Reuilly où Sœur Catherine servait les pauvres et les vieillards. Elle fait le ménage de la chapelle, comme à son habitude, comme une fille de la Charité humble et discrète. Elle y est seule, et en ce 21 avril, à peine perturbée par les coups de canon qui grondent, elle se remémore -à voix haute- les grâces dont le Ciel l’a comblée mais pour une mission toute particulière : porter au monde la Médaille miraculeuse.

 

COMÉDIENNE : PRISCILLA CARONI

SCÉNARIO ET MISE EN SCÈNE : CHRISTOPHE EOCHE-DUVAL

VOIX OFF : HERVÉ BLANCHARD

PRODUCTION ET LUMIÈRES : REJOYCE ®

ARCHIVES ET COSTUMES : SR ANNE PRÉVOST,

SR MAGDALENA HÂRBU

CONSULTANT : JEAN-LUC DEBARD

PHOTO : ARNAUD STEMMER

INFOGRAPHIE: PHILIPPE NIKOLOV ET P`ÈRE ALEXIS CERQUERA T. CM

Equipe Artistique / biographies

Priscilla CARONI : Comédienne .

Licenciée d’Histoire et mère de 4 enfants. Élève pendant 4 ans au Cours Jean-Laurent Cochet, elle a suivi un stage à LAMDA (London Academy of Music and Dramatical Art) et six mois à Michelle Danner Acting School (Los Angeles). Passionnée par le théâtre, elle interprète et met en scène « Le Lever du Soleil » de Madame Simone en 2011, « Les Vignes du Seigneur » de Robert de Flers et Francis de Croisset en 2014 et 2015. Actrice au cinéma, elle a joué dans « Jeunesse aux cœurs ardents » de Cheyenne-Marie Carron en 2017.

 

Christophe EOCHE-DUVAL : Auteur et metteur en scène.

Conseiller d’État, passionné de spectacles vivants. Il dirige une troupe de théâtre amateur depuis 2003 avec de nombreux festivals à son actif. En 2016, il met en scène des Évangiles en deux spectacles, « Yeshua, ils le suivirent » et « Les Noces de Cana », puis en 2018 « L’Étoile de Bergers KoRav haro’him ». Il prépare actuellement, pour décembre 2020, une grande crèche vivante à Montmartre. Auteur du livre « Vous serez dans la joie » (Artège, 2017).

Dates des représentations – Juillet 2021 :

Mercredi 14 : 19h

Jeudi 15 : 19h

Vendredi 16 : 19h

Samedi 17 : 15h et 19h

Dimanche 18 : 15h et 19h

Lundi 19 : 19h

 

La représentation est traduite en plusieurs langues.

 


		Image pour Catherine Labouré "Un coeur brûlant de charité". Évocation des Apparitions

		Image pour Catherine Labouré "Un coeur brûlant de charité". Évocation des Apparitions

		Image pour Catherine Labouré "Un coeur brûlant de charité". Évocation des Apparitions

 

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1 - Liturgie Horaires

Fête de l’Assomption 2021

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Cette année, les célébrations de la fête de l’Assomption se feront aux dates et horaires suivants :

  • Samedi 14 août 2021 à 18h : messe de Vigile de l’Assomption (20e T.O.), animée par le Chemin Néocatéchuménal
  • Dimanche 15 aout 2021 à 11h : messe solennelle de l’Assomption (20e T.O.)

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2 - Infos Paroissiales Concerts

Concertos virtuoses pour instruments à vent de l’ensemble Poséidon le 25 juin 2021

 

Dernière mise à jour : 25 juin 2021

Première publication : 13 juin 2021

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2 - Infos Paroissiales

Prorogation pour trois ans (2021/2024) du P. Diego Sanchez comme curé de la paroisse N.-D. de Bonne-Nouvelle (2e) (17 juin 2021)

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Le curé de la paroisse N.-D. de Bonne-Nouvelle (2e) M. l’abbé Diégo SANCHEZ ALCOLEA, prêtre du diocèse de Madrid, membre du Néocatéchuménat, dans le doyenné Bourse – Le Louvre, responsable du Conseil de formation du néocatéchuménat, et enseignant à l’École Cathédrale, est prorogé pour trois ans dans son office de curé de la paroisse N.-D. de Bonne-Nouvelle dans le doyenné Bourse – Le Louvre. Il demeure responsable du Conseil de formation du néocatéchuménat, et enseignant à l’École Cathédrale.

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2 - Infos Paroissiales ACEL

Sortie culturelle pour les enfants de 6 – 11 ans organisée par l’ACEL de Bonne Nouvelle le 26 juin 2021 – ANNULEE

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La sortie est ANNULEE, du fait de l’indisponibilité temporaire du guide. Une nouvelle proposition sera faite dès que possible.

Une sortie culturelle est organisée par l’ACEL de la paroisse Notre-Dame de Bonne Nouvelle le samedi 26 juin de 16h00 à 18h00.

Télécharger l’affiche

Au programme : La vie de Jésus à travers les œuvres d’art de l’église Saint Roch

Cette sortie est destinée aux enfants âgés de 6 à 11 ans !

Le rendez vous sera à l’église Saint Roch et les enfants seront de retour pour la messe à la paroisse Notre Dame de Bonne Nouvelle. Cette visite est animée par une guide de l’association des Trésors de Paris et l’encadrement est pris en charge par les bénévoles de l’ACEL. Les déplacements se feront à pied.

Nous veillerons au bon respect des gestes barrières.
Une collation sera offerte.

Coût : 3€

Inscription et informations auprès d’Anna Balmitgère par téléphone au 06 99 33 32 46 jusqu’au mardi 22 juin.

Dernière mise à jour : 29 juin 2021

Première publication : 12 juin 2021

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