17h-18h : HAPPY HOUR

17h-18h : HAPPY HOUR
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Durant le temps de l’Avent,
l’office des laudes sera psalmodié
dans l’église Notre Dame de Bonne Nouvelle (dans la chapelle de la Vierge)
à 6h00, du lundi au vendredi
à partir du mardi 30 novembre et jusqu’au jeudi 23 décembre
(pas de laudes le 8 décembre matin en raison de la Vigile de l’Immaculée Conception célébrée la veille)
L’entrée se fera par la porte à l’arrière de l’église au 19 bis rue Beauregard.
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Une visite – formation des guides bénévoles d’Art, Culture et Foi / Paris aura lieu le samedi matin 13 novembre 2021 à la paroisse Notre Dame de Bonne Nouvelle.
Au programme :
>> Une visite de l’église
>> Une conférence sur le romantisme et le renouveau spirituel sous la Restauration, par Denis Pelletier.
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Poussé par ce désir renouvelé de transmission de la Bible, Etienne Tarneaud propose des concerts bibliques en lien avec les temps forts liturgiques, ou des thématiques comme les rencontres de miséricorde du Christ, la Vierge Marie et les grandes figures de l’évangile.
Etienne Tarneaud revient à Saint Louis d’Antin Espace Bernanos / Salle Charles Péguy pour faire un concert aux deux dates suivantes :
le Vendredi 19 Novembre 2021 – pour plus d’informations, cliquez ici
le Vendredi 17 Décembre 2021
Adresse : 4 rue du Havre – 75009 PARIS à 20h
Métro : Havre-Caumartin / Auber / St Lazare
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Ces anecdotes, paroissiens du diocèse de Paris, ce sont les vôtres, prêtres et laïcs parisiens. Qu’elles soient belles, drôles, émouvantes, inspirantes, miraculeuses ou totalement larmoyantes, elles seront accueillies dans la joie et pour le plus grand plaisir de nos abonnés. N’hésitez plus à prendre contact avec nous et transmettez douceur et espérance sous format 2.0 durant l’Avent ! Vous pouvez d’ores et déjà réserver votre créneau ici.
Cette année pour l’Avent le diocèse de Paris propose de raconter des anecdotes de Noël à ses abonnés, de leur partager de courtes et belles anecdotes et leur transmettre de l’espérance en cette période de l’Avent.
Ces histoires, ce sont les vôtres, prêtres et laïcs parisiens. Quelles soient belles, drôles, émouvantes, inspirantes, miraculeuses, elles seront les bienvenues. Nous vous invitons à prendre contact avec nous pour venir nous partager ce qui vous est arrivé ou dont vous avez été témoin à Noël ou pendant l’Avent. L’idée serait de récolter tout un panel de belles histoires qui accompagneront toute notre communication de l’Avent. Vos témoignages seront filmés dans notre studio et montés dans un format de 1 à 3 minutes à destination des réseaux sociaux du diocèse. Cela prendra 15 minutes de votre temps.
Le tournage se fera début novembre au diocèse de Paris, rue du cloître Notre-Dame, dans un studio spécialement pensé pour l’occasion. Vous pouvez d’ores et déjà réserver votre créneau de tournage ici.
Si l’exercice de la caméra ne vous parle pas mais que vous avez envie de partager une histoire, vous pouvez aussi nous la transmettre et nous ferons le travail pour conter cette histoire au mieux. Merci de nous contacter à video@diocese-paris.net.
Merci d’avance pour vos retours, nous avons hâte de recevoir vos témoignages.
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Dans le contexte de l’appel à projets « Sauvons Nos Monuments » lancé par la start-up Dartagnans, le journal Le Parisien et la Région Ile-de-France, la commission d’Art Sacré lance une campagne de financement participatif pour collecter des fonds en faveur de la restauration des vitraux de la paroisse Notre-Dame du Bon Conseil (18e).
Afin d’être sélectionnée et soutenue dans ce projet, vous avez jusqu’au 7 novembre, pour voter sur www.sauvonsnosmonuments.fr
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Retrouvez le calendirer liturgique annuel complet pour l’année en cours 2020/2021
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Yann Destal, auteur, compositeur et interprète, ex-leader du groupe Modjo au succès mondial et sa femme Pauline ont réalisé un hommage à Notre Dame filmé à la paroisse Notre Dame de Bonne Nouvelle le 8 juillet 2020. La vidéo sera mise en ligne sur YouTube dès le mercredi 13 octobre 2021, jour de la fête de Notre Dame de Fatima !
Très tôt, Yann comprend qu’il est doué pour la musique. Il suit des cours de solfège et pratique d’abord la flûte, puis d’autres instruments. Dans son école de musique, au milieu des autres, il constate ses propres facilités. S’il comprend qu’un don est un cadeau immérité, ce n’est que plus tard, en découvrant la foi, qu’il saisit que ce don artistique qu’il a reçu à la naissance doit être orienté vers Dieu parce qu’il lui vient de Dieu, justement. C’est à l’âge de 22 ans que Yann, encore étudiant, rencontre Romain Tranchart. Ensemble, ils fondent le groupe Modjo. En 2000, Lady, première chanson du groupe, devient très vite un tube mondial. En quelques semaines, le single qu’on entend dans le monde entier se hisse à la première place de tous les hit-parades. Il devance même Madonna en Europe. Puis le succès s’étend partout dans le monde. Alors qu’il pensait en vendre quelques milliers d’exemplaires, c’est finalement deux millions de CD qui sont vendus !
Yann Destal témoigne à propos de sa conversion dans cet interview réalisée par Aleteia :
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Le mardi 5 octobre 2021, la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (CIASE) a rendu son rapport aux évêques de France.
Après deux ans et demi de travaux, la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Église (CIASE) remet publiquement aux évêques de France et aux supérieurs des congrégations religieuses le rapport que l’Eglise lui a commandé il y a trois ans.
La mission de cette commission était :
> Lire le message de Mgr Michel Aupetit, archevêque de Paris.
Monsieur le Président,
Vous venez de remettre à sœur Véronique Margron, Présidente de la Conférence des Religieux et Religieuses de France et à moi-même, votre rapport après 30 mois de travail. À travers nous, vous le remettez aux supérieures et supérieurs majeurs et aux évêques de France. Votre rapport est rude, il est sévère. L’ampleur du phénomène des violences et agressions sexuelles dans la société et dans l’Église que vous décrivez est effarante.
À travers la prise de parole de M. Devaux et à travers votre compte-rendu M. le président, déjà, nous avons entendu la voix de personnes victimes.
Nous avons entendu leur nombre.
Leur voix nous bouleverse, leur nombre nous accable. Il dépasse ce que nous pouvions supposer.
Que tant de vies d’enfants et de jeunes aient pu être abîmées sans que presque rien en ait été repéré, dénoncé, accompagné, soigné, est proprement insupportable.
Nous mesurons aujourd’hui encore la force intérieure et le courage qu’il a fallu et qu’il faut à celles et ceux qui dénoncent les violences et agressions qu’ils ont subies.
Nous réalisons le nombre de ceux et de celles qui n’ont pu parler et qui ne peuvent ou ne souhaitent pas le faire.
Aux personnes qui ont été victimes de tels actes de la part de prêtres, de religieux, de religieuses ou d’autres personnes dans l’Église,
J’exprime ma honte, mon effroi, ma détermination à agir avec elles pour que le refus de voir, le refus d’entendre, la volonté de cacher ou de masquer les faits, la réticence à les dénoncer publiquement disparaissent des attitudes des autorités ecclésiales, des prêtres et des acteurs pastoraux, de tous les fidèles. Croyez que je suis le porte-parole des évêques.
Mesdames et Messieurs, personnes victimes qui vous tenez là au milieu de nous ce matin, vous, dont je connais le nom et le prénom de quelques-unes et de quelques-uns, vous avec qui j’ai travaillé et d’autres évêques avec moi au long de ces dernières années, mon désir en ce jour, est de vous demander pardon. Pardon à chacune et à chacun. Mais je sais qu’à travers vous, ce sont des milliers d’autres qu’il me faut évoquer, certaines ou certains empêchés à jamais de parler.
Nous, évêques, voulons assurer ceux et celles qui parleront un jour, quel qu’il soit, qu’ils seront entendus, écoutés, pris au sérieux et que leur parole ne restera pas sans effet. L’écart entre nos constats de ces dernières années, à travers les récits entendus ou lus, et les chiffres établis désormais par la CIASE nous persuade que le travail de purification nécessaire doit être poursuivi sans relâche.
La CIASE a accompli un travail formidable. Nous savons qu’il fut éprouvant tant la réalité à mettre au jour dépassait en horreur et en tristesse ce qui pouvait être attendu. Nous remercions la Commission dans son ensemble d’avoir mené à bien une telle tâche et chacun de ses membres qui a fait bénéficier la Commission de sa disponibilité et de sa compétence.
L’Église catholique en France leur doit à tous et à chacune et chacun beaucoup.
Nous remercions aussi les chercheurs de l’École pratique des hautes études et de l’Inserm, les sondeurs et les analystes de l’Ifop qui ont aidé la CIASE dans les parties plus techniques de son travail. Nous mesurons combien toutes celles et tous ceux qui ont contribué à ce rapport portent en eux profondément l’impact des faits qu’ils ont dû constater.
Le rapport de la CIASE, au-delà de la description chiffrée du phénomène, doit être lu avec attention. Nous, les évêques, allons y consacrer du temps en vue de notre assemblée plénière au début du mois de novembre et très au delà, bien sûr. Nous étudierons les analyses proposées et les préconisations faites, l’évaluation donnée des mesures que déjà nous avons prises.
Ce que nous avons décidé en mars dernier est déjà en partie mis en place : transformation de la cellule permanente en un Conseil pour la prévention et la lutte contre la pédophilie, engagement à la construction d’un lieu mémoriel, poursuite de l’écoute des personnes victimes à l’échelle des diocèses et des congrégations mais aussi à l’échelle nationale, mise en place d’un service de prévention et de lutte contre la pédophilie, avec un service d’écoute national et la création d’un tribunal pénal canonique national, un travail continué avec les personnes victimes et avec des experts en tous domaines.
Nous avions décidé de revoir notre manière de comprendre et de présenter le ministère sacerdotal, celui des évêques et celui des prêtres ; le rapport de la CIASE nous appelle à plus de lucidité encore. Le temps de la naïveté et des ambiguïtés est dépassé.
Avec les catholiques de France et tous les Français, nous découvrons l’effrayant tableau qui est mis ce matin sous nos yeux. L’intrusion d’un adulte dans le développement affectif et sexuel d’un enfant ou d’un jeune est toujours une violence qui produit un traumatisme que ce jeune en grandissant ne pourra surmonter qu’au prix de grandes et terribles dépenses psychiques et spirituelles. Lorsque l’adulte en question est un membre de la famille, un père ou un oncle estimé, le traumatisme est plus grand encore. Il est augmenté dans des proportions exponentielles lorsque l’auteur est un prêtre ou un religieux.
De ces faits, nous avons une vive conscience.
Nous invitons les catholiques à lire ce rapport, à le lire avec nous. Nous avons invité aujourd’hui des personnes représentatives des institutions de notre pays. Le résultat du travail de la CIASE intéresse toute la société. Il met gravement en cause l’Église catholique ; il apporte aussi des éléments de travail et de réflexion pour toutes les composantes de notre vie sociale.
Je voudrais, au nom des évêques, dire aux prêtres, aux religieux et religieuses, combien nous comptons sur eux et sur elles pour recevoir ce rapport et y puiser avec courage et force de quoi s’engager avec plus de justesse encore. Dans leur immense majorité, ils sont de bons serviteurs. Ils ont donné et donnent leur vie pour servir celles et ceux à qui ils sont envoyés par le Christ Jésus. Ils mettent tout leur être à la disposition du Seigneur pour que celui-ci apporte sa grâce à ceux et celles qui l’acceptent. Notre engagement à tous dans le célibat est un choix d’amour, de délicatesse, de respect, d’humilité. Que certains parmi nous aient pu ou puissent détourner leur ministère au service de leurs pulsions nous accable, nous déchire le cœur. Cela nous oblige aussi à nous examiner chacun plus que jamais pour vérifier les moindres de nos comportements. Nous avions décidé en avril dernier d’évaluer à nouveaux frais nos relations d’autorité. Dans l’immense recomposition pastorale que nos diocèses et nos congrégations religieuses vivent, nous recevons l’amère lumière du rapport de la CIASE comme une exigence de Dieu.
L’ampleur du phénomène des violences et agressions sexuelles mise au jour aujourd’hui par la Commission que les évêques de France et les supérieurs religieux ont voulue révèle que toutes les relations structurantes de l’humanité peuvent être déviées et se transformer en relations de prédation et qu’elles le sont, il faut le constater, dans une proportion qui ne peut pas être tenue pour négligeable. La paternité, la maternité, l’engendrement, la relation éducative peuvent toujours être dévoyées, tant peut être grande la force qui pousse un être humain à dominer, à détruire, à assouvir ses désirs, tant est complexe et parfois compliqué le chemin qui permet de devenir des hommes et des femmes de paix et de justice.
Nous implorons de Dieu sa grâce, c’est-à-dire sa consolation et sa force, pour que nous puissions laisser la lumière pénétrer les zones les plus obscures. Que jamais nous ne renoncions à la clarté. Que jamais nous ne nous résignions à l’ambiguïté. Nous travaillerons, en lien avec l’Église universelle, notre théologie du sacerdoce baptismal et du sacerdoce apostolique. Nous voulons encore et toujours servir le Christ en son sacrifice : il a donné sa vie pour ouvrir l’espérance que le mal et la violence ne l’emporteront pas au terme de l’histoire et que les petits et les oubliés de l’histoire seront les premiers dans la lumière.
Mgr Éric de Moulins-Beaufort,
Archevêque de Reims,
Président de la Conférence des évêques de France
Réaction du Pape François – 5 octobre 2021
« Le Saint-Père a été informé de la sortie du rapport de la Ciase, à l’occasion de ses rencontres, ces jours derniers, avec les évêques français en visite ad limina. Et c’est avec douleur qu’il a pris connaissance de son contenu », a informé dans une déclaration Matteo Bruni, directeur du Bureau de presse du Saint-Siège.
« Ses pensées se tournent en premier lieu vers les victimes, avec un immense chagrin pour leurs blessures et gratitude pour leur courage de dénoncer. Elles se tournent aussi vers l’Église de France, afin que, ayant pris conscience de cette effroyable réalité et unie à la souffrance du Seigneur pour ses enfants les plus vulnérables, elle puisse entreprendre la voie de la rédemption », affirme encore Matteo Bruni.
« Par ses prières, le Pape confie au Seigneur le Peuple de Dieu qui est en France, tout spécialement les victimes, pour qu’Il leur accorde le réconfort et la consolation et afin que, avec la justice, puisse s’accomplir le miracle de la guérison ».
Source : www.vaticannews.va
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![]() Très active dans le domaine de l’art contemporain, l’association Art Culture et Foi / Paris est associée à la Nuit Blanche depuis sa création. Le 2 octobre prochain au soir, lors de la 20e édition , Art, Culture et Foi / Paris proposera 13 rendez-vous artistiques avec 15 artistes contemporains. Ces derniers présenteront leurs œuvres dans 13 sites du patrimoine religieux parisien : 11 églises, le Collège des Bernardins et la galerie Saint-Séverin. • Pour découvrir, télécharger, imprimer, le programme complet des œuvres visibles dans les différentes églises de Paris le soir de la Nuit Blanche, cliquez ici. • Pour une présentation plus développée des différentes œuvres et des artistes, rendez-vous sur le nouveau site d’Art, Culture et Foi en cliquant ici. |
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